Harcèlement sexuel et agissements sexistes au travail

La sécurité morale est aussi importante dans le monde du travail que la sécurité sociale. La sécurité morale est le respect de l'espace personnel de chaque travailleur. En d'autres termes, être dans un environnement d'esprit serein qui ne présente aucun harcèlement sexuel et aucun acte sexiste. En effet, afin d'être plus productif et d'augmenter les performances de l'entreprise dans ses activités, il est essentiel que les employés soient rassurés sur le plan personnel. Or, l'apparence ne révèle pas le caractère et les intentions d'une personne dès la première conversation, donc lors d'un entretien d'embauche. Il ne reste donc plus qu'à prendre des précautions grâce aux règles qui doivent être imposées dans toute entreprise déclarée. Ces deux notions sur la violence doivent être clarifiées. 

Quelle est la différence entre ces deux faits ? 

Le code du travail distingue l'agissement sexiste du harcèlement sexuel au travail. Ce dernier est défini comme l'imposition répétée d'un comportement ou de certains propos à caractère sexuel d'une personne qui portera atteinte à sa dignité dans le milieu professionnel. Ils constituent en effet un caractère dégradant et parfois humiliant à l'égard du salarié concerné. Mais on le définit également comme une forme de pression exercée à un niveau d'alerte pour parvenir à des fins sexuelles. 

Quant à l'agissement sexiste, il est défini comme le caractère de tout abus ayant un lien avec le sexe du salarié agressé. L'objet étant le même que pour le harcèlement, l'acte portera atteinte à la dignité qui générera un espace lourd d'hostilité, d'humiliation ou d'offense. Pour plus d'informations, consultez le site entreprise-et-droit.com.

Comment identifier ce type de comportement ?

Il y a deux types de harcèlement sexuel travail. Le premier type est la pression gênante pour accomplir un acte de nature sexuelle, qui est un acte assimilé. Ce type est plus facile à discerner car les faits ne sont pas déguisés. Ils sont parés d'une autorité opérée vers un abus avec des menaces perpétuelles sur les conditions de travail. Il y a aussi le chantage au licenciement. Tout cela dans le but d'obtenir des actes sexuels. 

Le deuxième type implique des commentaires ou des comportements sexuels non désirés ou répétés. La dernière caractéristique de ce deuxième type n'est pas nécessairement obligatoire, car elle peut être non répétée. Cela explique la difficulté de distinguer ce type. Le degré de harcèlement dépendra de la manière dont le harceleur instaure le climat de travail. Il peut être distingué par son approche de la victime. Par exemple, dans le cas d'une atteinte à la dignité, il utilisera un langage ou des mouvements corporels sexuels inappropriés, comme des jeux de langue. 

Autres types d'infractions liées au harcèlement sur le lieu de travail !

Les lois harcèlement sexuel au travail prévoient aussi des clauses sur lesquelles se fondent d'autres facteurs qui créent un environnement dégradant dans une entreprise. Par exemple, l'agression sexuelle est le degré le plus élevé de tous les actes. Cela est dû au fait que l'acte est rempli de violence, de coercition ainsi que de menaces. La partie la plus effrayante est la surprise que fait le harceleur car elle perturbe la moralité de la personne harcelée.

Cela nous conduit au deuxième exemple d'infraction prévue par la loi. Il s'agit du harcèlement moral. Ce type de comportement se caractérise par des actions répétées dans le but général de dégrader les conditions de travail. Dans le but de toujours porter atteinte à la dignité et aux droits du salarié. Ainsi, les agissements exercent une pression sur sa santé physique et mentale. Cependant, il faudra distinguer des autres types de harcèlement par ses formes, comme les critiques destructrices et les sarcasmes agaçants, les humiliations qui peuvent dériver vers des insultes et des menaces.

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